"Nous buvons du thé, encore du thé et toujours du thé. J'apprends que la meilleure eau pour le thé vient d'un glacier ; elle passe à travers le feuillage et dans le sol avant de s'amasser dans un réservoir. Au bout de trois ans, l'eau est versée dans un récipient de porcelaine avec quelques feuilles de thé. Quand les feuilles s'ouvrent, le thé est prêt. L'arôme d'un seul bol peut parfumer une maison entière."
Peter Sis, Le Tibet : les secrets d'une boîte rouge (Grasset Jeunesse, 1998) - traduit de l'anglais par Alice Marchand
De « pinchina » à Pinchinat
Il y a 7 heures
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire