"bouche à bouche le bleu. Tout d'un
coup je sais que j'existe. J'y fais
mon nid. C'est simple
c'est tout ce qui compte
"nos corps feront jour
rien qu'en ouvrant les
bras sous le pommier"*
* Sophie Loizeau"
Israël Eliraz, Août, à la limite des choses perdues (Corti, 2007)
De « pinchina » à Pinchinat
Il y a 12 heures
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